Eh non je ne vous ai pas oublié les estivants, eh non.
Alors on est reparti très vite:
1° "Joga" de qui vous savez, parce que.
2° "Devil's Hootenanny" de Laura Veirs parce que je ne remercierai jamais assez Plaf de me l'avoir fait découvrir.Alors on est reparti très vite:
1° "Joga" de qui vous savez, parce que.
10° "Take me to broadway" de Gonzales, parce que je veux être aimé et détesté dans les mêmes proportions.
A toi, jeune lecteur insouciant dans ce monde en guerre ^^. A toi aussi jeune lecteuse insoucieuse qui porte l'amour de l'humanité au fond de tes yeux verts et le souvenirs de Lesermann au coeur (beaucoup de références, une bonne et que des mauvaises...)
Sinon en Vrac:
Petit point Flim:
A très beaucoup aller voir :
A toi, jeune lecteur insouciant dans ce monde en guerre ^^. A toi aussi jeune lecteuse insoucieuse qui porte l'amour de l'humanité au fond de tes yeux verts et le souvenirs de Lesermann au coeur (beaucoup de références, une bonne et que des mauvaises...)
Sinon en Vrac:
Petit point Flim:
A très beaucoup aller voir :
28 Weeks Later
Ne croyez pas l'affiche, il y a finalement assez peu de sexe dans le film, mais un bon demi-milliard de trahison et la certitude que la distance la plus courte entre 2 points n'est pas la ligne droite. Un thriller solide avec néanmoins quelques longueurs.
A voir si vous aimez passer à travers les fenêtres fermées:
Alors oui ok, le cinéphile pédant me dira "oui un film de zombieeeeeee, oui bon c'est pas du Rohmer ni une chronique sociale sur l'analphabétisme des moines copistes au Myanmar..." et je lui dirais "Ta gueule". C'est le meilleur film de zombie des siêcles, il a digéré Romero, les Resident Evil, les Silent Hill, le Projet Blair Witch.
C'est efficace, mené tambour battant, réalisé avec brio (même si je pense toujours à Cuaron quand je vois ce style de réalisation), et noir, mais noir, rarement (depuis "Black Book" de Verhoeven, j'allais quand même pas citer "Johnny Got His Gun") on aura vu aussi peu d'espoir dans une production. Remarquez, c'est pas américain, ça peut expliquer des choses. En fait, c'est une illustration de "Life is a Lemon and I Want my Money Back" de Meat Loaf:"What about everything?/ IT'S DEFECTIVE!".
C'est efficace, mené tambour battant, réalisé avec brio (même si je pense toujours à Cuaron quand je vois ce style de réalisation), et noir, mais noir, rarement (depuis "Black Book" de Verhoeven, j'allais quand même pas citer "Johnny Got His Gun") on aura vu aussi peu d'espoir dans une production. Remarquez, c'est pas américain, ça peut expliquer des choses. En fait, c'est une illustration de "Life is a Lemon and I Want my Money Back" de Meat Loaf:"What about everything?/ IT'S DEFECTIVE!".
A voir si vous aimez être balladé à l'inconnu:
Boarding Gates
Ne croyez pas l'affiche, il y a finalement assez peu de sexe dans le film, mais un bon demi-milliard de trahison et la certitude que la distance la plus courte entre 2 points n'est pas la ligne droite. Un thriller solide avec néanmoins quelques longueurs.A voir si vous aimez passer à travers les fenêtres fermées:
The Bourne Ultimatum
une performance de réalisation, une caméra à l'épaule survoltée et lisible, un caméramen cascadeur (60cm derrière Bourne dans les scênes d'actions et de poursuite, c'est fort), une belle tension dans les 3 poursuites centrales du film, un méchant très méchant et pas vraiment de gentils.
Plus la réponse à une question facile tarde et fait problême, plus il faut s'attendre au désespoir, Bourne le comprendra mais récupèrera une identité. Un film d'action de qualitay, un entertainer solide.
Et si vous avez vu tout ça, ben matez "Twin Peaks" (BEST.SERIE.EVER) ou lisez du Jorge Luis Borges, conteur ET écrivain, Jule Renard sera bien emmerdé...
Allez, il faut partir maintenant, ne serait-ce que pour aller voir qui a tué Laura Palmer.
une performance de réalisation, une caméra à l'épaule survoltée et lisible, un caméramen cascadeur (60cm derrière Bourne dans les scênes d'actions et de poursuite, c'est fort), une belle tension dans les 3 poursuites centrales du film, un méchant très méchant et pas vraiment de gentils.
Plus la réponse à une question facile tarde et fait problême, plus il faut s'attendre au désespoir, Bourne le comprendra mais récupèrera une identité. Un film d'action de qualitay, un entertainer solide.
Et si vous avez vu tout ça, ben matez "Twin Peaks" (BEST.SERIE.EVER) ou lisez du Jorge Luis Borges, conteur ET écrivain, Jule Renard sera bien emmerdé...
Allez, il faut partir maintenant, ne serait-ce que pour aller voir qui a tué Laura Palmer.
ps: Allez pour Pablo, et pour vous tous, une vidéo de qualitay
