mardi 24 avril 2007

Dormir c'est tricher

Allez hop à l'arrache comme ça
Musique:
Brand New: Millstone, Degauser, Jesus Christ. Plus ça va, plus j'aime cet alboume. Faut arrêter de me donner de bons conseils madame!!!

Joss Stone: Less is More. Ya pas à dire son deuxième alboume reste largement mon favori, écoutez Snakes and Ladder aussi tiens.

John Miles
: Music. 'azy shushu, tu m'as mis ta merde dans la tête fdp :fou:

Alizée:
Moi, Lolita. Live au Festivalbar, ça tabasse des requins-scie. Allez voir sur Youtube si vous ne me croyez pas

Livre:
RICHARD WAGNER: Parsifal. Après tant d'attente ENFIN IL EST MIEN. Et le début fait déjà honneur.
"Durch Mitleid wissend
Der reine Tor"
'tain c'est beau.

Alain Damasio:
La Horde du Contrevent. Parce que tant que vous ne l'aurez pas tous lu et appris par coeur je vous en parlerais


Allez partez maintenant allez voir si Sophie des Toujours ouvrables a dit du mal de George marchais ou si Cha a toujours les cheveux aussi rose.

vendredi 20 avril 2007

Iteuseu bine eu arday naïte inde ouive bine weurkine laïke dogue

Après le titre pour Joe Marchand, v’la le titre pour Pablo. Vous inquiétez pas il y en aura pour tout le monde, d’autant plus que j’adore les titres pourries mais ça vous vous en êtes déjà rendu compte… Vous dire que j’ai été traumatisé par ma première dissert’ de lettre en khâgne dont le sujet était « Qu’est-ce qu’un bon titre ? ». En bon littéraire, sûr de mon fait et de références à Lovecraft, j’avais cartonné et pris un majestueux 5…

Rigolez pas, j’en fais toujours des cauchemars… Bref un bon titre peut tout faire et même faire passer un livre tout pourri.. . enfin presque.

D’ailleurs par rapport à la note de la dernière fois, faut que je vous eSplique : les amateurs de musiques bruyantes auront reconnu le refrain d’une jolie ritournelle des Prodigy que je conseille à toutes les mamans au moment de coucher leurs progénitures pour les entraîner vers les brisants du rêves, Poison. Or Remedy=Cure, et je parle de New Wave et de Fatals Picards, donc je faisais un référence UBER tordue à Cure Toujours, excellente piste du dernier alboume des Fatals Potes à Sophie W (ou V), où il est question Niou ouayve et de murs noirs. Et pour vous dire à quel point ce morceau c’est trop d’la balouze, Mélaka l’a ajouté dans sa radio. Alors hein bon, sur cette base, je crois qu’il n’y a plus rien à ajouter…

Je relis ce paragraphe et je comprends pourquoi Pablo me disait que c’était dur à lire… Mais j’ai jamais été foutu de dominer mon récit. Donc pourquoi le titre tout pourri ci-dessus ?

En plus d’une évidente référence à un groupe qui a su faire des choses pas dégueulasses dans les années 60 et 70, c’est l’histoire du chien qui nous intéresse. Pas le Chien, le plus bel homme de la blogosphère, mais juste un chien, un qui fait wouf. Et surtout les après midi.

A DOG DAY AFTERNOON

1975

Sidney Lumet

John Cazale

Al Pacino

Chris Sarandon

Lance Henrikssen

Casting bien entendu dans le désordre je mets juste les acteurs dont je me souviens du nom.

Scénario : un bracage tourne mal. Basique hein ? sauf que là, faut voir la trajectoire !

1ere scène (hors générique), 3 compêres assis dans la bagnole sous un réverbère, visiblement tendus, zonent devant une banque. On l’a instantanément compris, il cherche à la braquer. Ils entrent et paf 1er coup de théatre, le plus jeune ne se sent pas capable de braquer un flingue sur quelqu’un, s’excuse et s’en va. On est déjà dans l’humour, il laisse Sonny (Al Pacino) et Sal (John Cazale) un peu désemparés… Mais bon Sonny connaît un peu les rouages des banques et il est armé, Sal ne dit rien mais il est armé aussi.

2e coup de théatre, les coffres sont quasiment vides, on leur a refilé un tuyau percé… 1100$ dans le coffre, quelques liquidités dans les guichets, c’est maigre… mais nos deux braqueurs en herbe s’en satisfont pour le moment jusqu’à ce que le téléphone sonne…

Et là Sadako sort de la télé et tous meurent avec d’effroyables rictus de terreur.

Horrible, affreux, pire que quand Nina Meyers bute Terri à la fin de la saison 1 de 24.



Avouez que vous y avez cru !!!

Non en fait c’était le commissaire Moretti au bout du fil qui annonce à ce très cher Al Pacino qu’ils sont fait comme des rats. Et là tout s’enchaine… pas…

Nos deux compères n’avaient RIEN prévu en cas de pépins et se font engueuler par « Grande Gueule » la responsable des filles de la banque !!! Al Pacino, futur Tony Montana ou Carlito, se faisant pourrir par une grande gigue blonde façon MLF enragée, ça vaut son pesant de cacahouète !!

A ce moment là commence le Al Pacino’s Show, qui presque malgré lui donne une tournure politique à son geste contre un état policier un peu facile de la gachette, émanation d’un président qui s’est un brin pris pour un cowboy. Car oui Un Après-Midi de Chien est un film politique, c’est indéniable : on y brasse un état policier, une défense des minorités naissantes (la communauté gay avec un Chris Sarandon sublime, une femme dans un corps d’homme, ce qui pour l’époque n’est pas une thématique si répandue), une critique de l’amérique puritaine (« Mon corps est un temple, je le protège du cancer » Sal, je t’aime !!!, « je suis chrétienne, mes oreilles ne sont pas une poubelle », tout ça pour un « F. word », alors qu’à côté Al Pacino balance des « fuckin’ » et des « bullshits » comme Ségo enfile les idées creuses), la justice spectacle (un reporter qui appelle directement la banque pour avoir une interview), les médias sans finesse (Non Sal tu n’es pas gay, t’inquiète, même si je t’aime !!!).

Bref un brulôt sur la société des années 70 avec un méchant flic, qui ressemble vachement à Nixon himself, et qui est une sacré crevure à côté du débonnaire Moretti.

Mais finalement, ce film perd-il son intérêt 32 ans plus tard ? J’ai lu ici ou là des critiques assassines sur le manque de rythme, le peu de décor, les sujets rebattus… Déjà le coup des sujets rebattus, c’est hors de propos en 1975, voilà typiquement le genre de critiques de gens qui sont passés à côté du film pour commencer. Chais pas moi, c’est comme les gens qui voient Nosferatu 1er du nom et qui sorten « ouais mais bon les Vampires quoi… ». « Ouais mais bon à l’époque ça n’existait pas en film,‘bruti ». Replacer les choses dans leur contexte ne doit pas être une option, si ça vous emmerde, ne regardez que des Decoteau là où vous demandera pas d’utiliser votre tête. Et encore dans A Dog Day Afternoon, l’humour 2de degree doit faire tenir le public… On rit beaucoup des mimiques de Al Pacino, de sa déclaration d’amour à Léon, de son air ahuri quand sa mêre vient le voir, mais la conclusion fait de ce rire franc un rire amer au final. En effet tout le film est basé sur le passage de l’enfermement et du groupe à celui de l’ouverture et de la solitude. Tant que Sonny et Sal sont dans la banque, ils sont au centre d’une cosmogonie bien huilée et bien visible même à l’écran :

Les braqueurs

Les employées de Banque

Les Flics

Le public

Les médias

Et ces cercles tournent en harmonie jusqu’à ce que, au détour d’une réplique de Sheldon, le flic fourbe, un cercle tente d’interagir avec la valse hésitation des braqueurs. Dès lors, la tentative de fuite devient un combat pour sauvegarder les cercles. Il n’y a qu’à voir la sortie de la banque, en rang bien sérrés, et les places de chacun dans le mini-bus qui amêne Sonny, Sal et les otages vers une fuite…

En fait, la meilleure critique qu’on puisse faire de ce film, c’est Brel qui la fait, dans « Seul » :

On est million à rire
Du million qui est en face
Mais deux millions de rires
N'empêchent que dans la glace
On se retrouve seul

Car c’est bien ce qui attend notre histrion de braqueur à l’heure du générique de fin…

Je tiens à dire que j’ai lutté de toutes mes forces pour spoiler le moins possible, mais sérieusement comment critiquer un film sans rien en dire. Vous raconter l’histoire n’est pas vous raconter le film, un film est autrement plus qu’une simple histoire, sinon tout ne serait que compte.

Et c’est bien une des forces de ce film, sur un canevas simple, pour ne pas dire simpliste, le jeu habité de deux acteurs déjà au top (Sal, je t’ai dit que je t’aimais ?) et une mise en scène classique mais au combien efficace font qu’on dépasse le stade du divertissement. Non que le divertissement ne soit pas une chose noble, bien au contraire, mais quand on peut avoir plus, pourquoi bouder notre plaisir de grincer des dents ?

En conclusion, le public, nombreux, de cette scéance ne s’y est pas trompé, A Dog Day Afternoon ne trahit pas sa réputation. Un vrai classique ne meurt jamais.



Musique (makes the people come together comme disait Maradonna ce formidable artiste pop) :

Brand New : Limousine (un refrain 100% artichaut), Sowing Season (une fin cathartique comme on les aime). L’alboume complet « The Devil and God Are Raging Inside Me” est encore une découverte que je dois à %let, encore beaucoup merci de faire mouche à chaque fois

Jacques Brel : Seul, Dors Ma Mie

Brigitte Fontaine : L’amour c’est du Pipeau (Kasdédi à Playm !)

Bernard Minet et Caline : Moi , j’ai le pouvoir (générique de She-Ra, la sœur de Musclor)

Bayday (ou jour de plage) :

Alex Ross,Jim Krueger,Dougie Braithwaite : JLA Justice (Dites à Caat qu’elle est Alex Ross, elle va apprécier). Certes il faut aimer les comics, mais rien que pour les couleurs d’Alex Ross vous pouvez faire un effort.

Neil Gaiman et des tas de dessinateurs différents : Sandman, n’importe quel tome, car comme le dit si bien la 4e de couverture, « chaque tome constitue une aventure indépendante ». Et surtout une putain de bonne bd.

Allez cassez vous maintenant, allez vous faire vomir sur les jeux de Kek ou vérifier si Sophie V (ou W) a fini par faire sa lessive.

lundi 16 avril 2007

I Got Da Poison, You Got Da Remedy

Fiou encore un titre tout pourri et uber capillo-tracté, mais avec un peu de chance vous verrez où je voulais en venir... enfin si je voulais en venir quelque part.
On commence par les remerciements à Plaf et Playm qui m'ont ajouté à leurs liens. Avoir une place à côté de Boulet ou de Chicous ça me fait des choses à l'intérieur du dedans de mon corps!!!

Bon, on est parti.
Alors qu'est-ce qui vous attend ici ce soir: de la musiiiiique!!!

Comme c'est étrange, comme c'est bizarre et comme c'est inattendu...


She Wants Revenge-Alboume éponyme

sorti en 2005 un peu dans l'indifférence générale, et ça, çay mal. Bon vous allez me dire Lara Fabian quand elle sort un alboume, on l'entend même quand on en a rien à foutre alors, au final, SWR ne fait pas forcément un mauvais choix.

Style:New Wave!!! et oui en 2005, il y a encore des gens pour faire de la New Wave, parce que la New Wave ne meurt jamais, la vague toujours renouvelée, le flux et le reflux de l'onde sur le sable meuble, un monde nouveau à chaque cycle, blablabla... On a dit pas les critiques des Inrocks ok? Qu'est-ce qui peut pousser un groupe en 2005 à suivre un courant des années 80? Selon moi, c'est la mode du lo-fi de ce début de XXIe siècle (lo-fi qui même au XXXIe siècle sera toujours à la mode, si, si je vous jure, ya qu'à écouter la zik de Ulysse 31, c'est un peu la quintessence du lo-fi), qui fait que la New Wave avec ses beats bien 4bits, ses montées chromatiques dignes des meilleurs jeux game boy revient à l'honneur. Et aussi parce qu'il n'y a pas d'époque pour les voix monocordes.

Voix: Ben comme dit plus haut, c'est monocorde, neutre, blanc. Comme un vieux bruit blanc de la puce FM d'une Master System. De suite, je sens que je perds les fan de lara Fabian et Florent Pagny avec mon chanteur sans coffre. Et ben tant mieux ! Ca peut paraitre bizarre d'aimer une telle voix mais elle ajoute pourtant une plus-value forte aux textes du groupe, de l'humour.
Prenons
Out of Control (et prenons-la bien!):

With her high heel against the wall
Kind of dancing, though not at all
She had stockings running up to her thighs
Snaps her fingers to keep the time

From the back of the room I saw her there
I said she wants to be alone and I shouldn't dare
But then she noticed me glance at her
I had no choice but to dance with her

[Chorus]
The lights that move sideways and up and down
The beat takes you over and spins you round
Our hearts steady-beating, the sweat turns to cold
We're slaves to the DJ and out of control

I watched her feet move, her hips they sway
Does a hair flip then starts to say
Oh, my God, it's my favorite song
I pull her close and she sings along

2e couplet, le chanteur fait genre, style genre, chuis un lover, j'vais pas vers les meufs, j'me contente de mater et paf, elle me remarque et je pars l'emballer tranquille, t'as vu. Mais le détachement avec lequel il nous assène ça, fait qu'on sent plutôt le loser qui peut réussir sur un coup de dés du destin!
3e couplet, je vous conseille d'écouter le "
Oh My God, it's my favourite song", c'est un modèle. La fille qui le dit pass de suite pour un futur prix nobel, c'est clair.
Ne croyez pas que je me moque au contraire, ce détachement tout british pour un groupe californien, ben ça fait quelque chose. De plus, en dehors même de la voix, les textes sont bien trouvés, avec une vraie scansion comme je les aime avec des mots qui claquent bien métalliques, bien sharp sur les lignes de basse et les accords de guitare.

Musique et arrangements: bah c'est de la new wave, énormément de guitare, d'arrangement lo-fi, de la batterie bien claire et carrée, voir Sister et ses riffs simples mais d'une efficacité redoutable pour bien se faire une idée ou l'intro de Red Flags and Long Nite.

Je ne reviens donc pas sur les textes, bien écrits, qui font mouche à tous les coups:
I would like to tell you, I would like to say
That I knew that this would happen
That things would go this way
But I cannot deceive you, this was never planned
I know that you're the right girl but do you think that I am the right man?

1 er couplet de I Don't Wanna Fall in Love, le décor est planté. Et les passages de guitare vénéneux sont de parfaits véhicules.

Alors tout n'est pas rose, le revival new wave est à la mode de nombreux groupes sont sur le créneau (I Love You But I'Ve Chosen Darkness en tête, mais eux ils trichent avec un nom encore plus à coucher dehors sous la pluie), l'offre est dense et SWR surfe sur cette vague. En apportant quoi? Selon Allmusic, rien (critique assassine sur le site), selon moi, un p'tit goût de métal et de pluie au fond de votre bouche et dans vos oreilles. Peut-être que d'autres font ça mieux, mais eux je ne les connais pas, alors je n'en parle pas!

Un alboume à écouter les jours de trop beau temps ou de gentille euphorie, parce que faut pas déconner la mélancolie c'est quand même mieux que tout le reste!!

Zizik:
Je vous fai pas un dessin, mais je vous recommande sur l'alboume
Red Flag and Long Nite, Someone Must Get Hurt, Out Of Control, These Things (Best.chorus.ever!!)
Nicolas Peyrac: Bastia (oui et si vous êtes pas content c'est pareil!), Les Cocotiers Bleues
Solomon Burke: Got to get you out of my mind

Livre:
Alain Damasio: La Horde Du Contrevent (VOUS DEVEZ TOUS LE LIRE!!!!
une critique ici dès que Kris l'aura fini)
Breslow and Day: Statistical methods in cancer research. Vol. II: The design and analysis of cohort studies


Allez partez maintenant, allez voir si Martha s'est remise de ses émotions chez Plaf ou chez Boulet s'il a enfin fait une note pourrie...

PS: Merci à qui de droit pour m'avoir fait connaitre ledit groupe!

samedi 14 avril 2007

De Profundis.

Je te rassure, toi lecteur déjà assidu, je ne vais pas te causer messe.
Quoi que, à bien y réfléchir...
Bon ok si la zik est une religion, on va causer religion.
La mienne, et la tienne aussi si tu y réfléchis bien,

LA BASSE
Réflechissons 2 mn, pas plus, surtout un samedi matin, avec un peu le casque de la veille et tout. Dans le post précédent je faisais état du fait que, d'après moi mais je ne pense pas avoir inventer l'eau tiède sur le sujet, la musique c'était avec tout le rythme, la pulsation vitale, celle du coeur avant tout chose si vous voulez. C'est d'ailleurs pour ça que Homogenic...
hop hop hop, on est pas là pour causer Björk, ya des déjà des sites très bien pour ça, et on va finir par croire que je suis un fantron...
Bref la pulsation de base de la musique, LA BASSE.
La basse est, et doit être à la musique, ce que l'oxygène est à la combustion, le carburant, la force motrice, voir le primum mobile.
Comment peut-on concevoir de musique sans basse?
Et pourquoi pas un coeur sans pulsation? Et pourquoi pas des idées dans le programme de François Bayrou?
Non m'imaginez pas la dernière proposition, vous v
ous feriez du mal...
Il ya une espèce de morgue imbécile chez cert
ains gratteux qui leur fait mépriser les bassistes, et j'avoue n'avoir jamais compris pourquoi. A se demander si ces gens-là (les gratteux qui n'aiment pas les bassistes hein, pas TOUS les gratteux) ont déjà écouter une musique autre que les horribles miaulements qu'ils peuvent produire avec leur substitut phallique, signe d'une adolescence sans doute mal digérée... Non je n'énerve pas j'explique bordel...
Donc ces personnes qu'on affublera d'aucun autre qualificatif déplaisant, ont-elles, au hasard,déjà entendu The Lemon Song ou Since I
've Been Loving You ?
Pouvez vous imaginer l'espace d'une seconde la première citée sans sa ligne de basse????
NON MALHEUREUX LE FAITES PAS!!!!! c'est un coup à voter Bayrou ça...
Et encore je ne cite pas les chansons directem
ent "bass-driven" comme Another Bites The Dust ou Under Pressure, ça biaiserait la démonstration.
Enfin tout ça pour dire que quelque part faut être un peu con pour taper sur les bassistes, si ça vous amuse tant que ça amis gratteux crevés de morgue, faites moi le plaisir d'essayer de vivre sans faire battre votre coeur et on en reparle... ou pas

Jean-Paul Jean un bassiste qui mérite

Jean Déconne, un bassiste royal

Au final ces nouveaux écouteurs intra-auriculaires déchirent des poulpes au niveaux des basses



Musique:
Ben toutes les chansons précdemment citées, avec les basses à donf de préférence. Pour The Lemon Song, n'hésitez pas à jeter un pavillon à la version des Black Crowes avec Jimmy Page, un guitariste qui mérite aussi.
Björk: 5 years
Bowie
: Five years
Kyuss
:Ecoutez Blues For The Red Sun en entier, ça ne pourra que vous faire du bien

Allez maintenant partez, allez voir chez Playm si j'y suis, ou si Monsieur Le Chien est toujours aussi laid.



jeudi 12 avril 2007

CURSE!!!! (of darkness)

donc déjà un petit titre pour ce très cher joe Marchand, 4e fou à laisser un commentaire sur mon blog...
Déjà 4 commentaires c'est fou...Ma tête enfle comme chez Everland...

Et puis quand même...
Au detour d'une proc sas qui s'éternisait (une genmod en plus...jaytayvay...), je me suis dit que pour mon bien être mental et mon nombrilisme forcéné, un petit tour sur mon édifice de vent (un slamino léger quoi) me serait profitable...
et là que vois-je, enfer et chanson de Muse, 2 COMMENTAIRES!!!!!
pas 1 laissé par un bot, MAIS 2, de deux personnes différentes...2 membres éminents de la blogosphère BD en plus.
La classe américaine quoi...
Et voilà que de facto mon blog devient un secret de polichinel...

Du coup, PRESSIIIIIION, il faut produire.
Ca tombe bien faut que je vous entretienne d'un truc qui m'obsède depuis quelques jours, une chanson.

du björk!!! comme c'est étrange comme c'est bizarre et comme c'est inattendu...

Bon vous savez (oui, VOUS SAVEZ, si vous savez pas encore çay mal), que son nouvel album Volta sort fin mai, d'où les 2 dates françaises fin Aout. Et qui dit nouvel alboume dit singueule.

Celui qui nous interesse ce soir s'appelle Earth Intruders, disponible en version extend sur iTunes et qu'on peut entendre sur de BONNES RADIOS, cad pas en France... et ouais il y a encore des invendus de M. Pokogra à dégager des étals des disquaires de France...

Critique type "Inrock' ":
"Avec ses beats vicéraux, oeuvres de Timbaland orfèvre hip-hop et d'un percusionniste de renom, Björk nous rappelle à quel point la musique vient séminalement du RYTHME. Aucun répit dans ce bijou électro-pop, vos tempes battent, votre coeur, vos pieds suivent et la tête de pont de Volta vous déchainent déjà.
Sans doute le plus grand morceau de l'histoire"


Non je n'éxagère pas, les inrocks toutes les semaines vous trouvent LE groupe du siêcle ou LE morceau de toute une génération... Remember leur article sur les Bellrays...
Bref, je suis un être mesuré, je n'irais pas si loin.
Tout d'abord, soyons franc, n'importe quel morceau de HOMOGENIC me boulversifie bien plus. Mais bon Jòga ou Pluto sont des oeuvres irréelles, d'une réalité qui nous échappe, donc TU PEUX PAS TEST.
Mais je soucris en grande partie au 1er paragraphe de ma parodie de critique,
c'est de l'énergie pure que nous offre Björk. Sa voix, une fois de plus, qu'elle soit à contre-temps, qu'elle rugisse ou hurle sa rage nous (me quoi) transporte, nous retourne, nous nettoie, nous enivre. Car il faut toujours être ivre.
Même si un single est le meilleur morceau des mauvais albums, je sais ici que l'attente va être longue jusqu'à la galette complête de l'Islandaise.
Ce morceau m'habite dans les moments de blues en ce moment, il croît comme la graine en Steppe. Pour Björk et sa voix d'éther, je suis prêt à devenir arbre.


Musique:
ben Björk quoi ^^
Les Fatals Picards: La Ferme (sur Picardia Independenza mon bon Plaf, la dernière, 8mn, inloupable)
Bruce Springsteen et/ou Patti Smith: Because The Night
Fantazio:Seven Day's


dimanche 8 avril 2007

Publicité mensongère!!

Voilà un titre qui ne prend pas de risque!!
Devant la masse immeeeeeeeeeeeeeeeense des blogs sur l'océan du net, le moindre péché de prétention peut être fatal, alors je joue profil bas, malgré mon front haut et mes tifs clairsemés.
Tien pourquoi est-ce que je commence aujourd'hui?
Excellente question, faudrait que j'aille me renseigner...
Sans doute toute cette musique et ce soleil de printemps sur la Thyrénienne qui me disaient "'azy fais pas ta pute, raconte quoi".

Ouais mais bon je vais pas me laisser faire par ce macrocosme qui m'a enfanté aussi, "t'es pas ma mêre!!"

Mais bon voilà j'ai franchis le pas.
Je nage à contre courant, parce que finalement, on nage toujours à contre courant, sinon il suffit de faire la planche et de se laisser porter!

Bientôt des photos, des images, des dessins si je franchis un autre pas, de la zik, des films, de la bouffe...
Bref de tout, de rien. Et uniquement si le coeur m'en dit...

Musique:
Brassens:
Le Vingt-deux Septembre

Björk: I Miss You